[Pathfinder] La malédiction du trône écarlate - 2019. Les PJs

Je me permet de créer un fil pour présenter nos PJs.

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* : si vous m'entendez parler à la place de la compagnie de la zibeline c'est normal et il ne faut pas se formaliser. La première traduction est celle qui a été officiellement retenue par Black Book Edition et la seconde est la traduction (plus littérale) de "sable company" qui avait été faites par les fans avant la publication de la vf officielle. Pour la faire courte la zibeline est un petit mammifère à la fourrure noire qui par déformation de son nom dans les langues germaniques et slaves a donné en français la dénomination "sable" pour la couleur noire en héraldique.


Description. Solange est une humaine au physique androgyne et à l'allure visiblement militaristes. La première chose qui attire l’œil lorsqu'on l'observe sont ces nombreuses cicatrices qui lui abîment la face et en particulier une plaie à la nuque qui selon toute vraisemblance aurait du se révéler fatale. A y regarder de plus prêt il est clair qu'elle est d'origine Shoanti, les barbares du Storval, et pourtant elle exhibe la devise de Korvosa "Troker ep Styrk" tatouée en travers de sa gorge comme une ultime preuve de patriotisme. Parmi ses autre tatouages visibles on pourrait lister ce qui semble être le haut du blason de Korvosa juste en dessous la devise de ville ainsi qu'un hippogriffe au coin de son œil droit.

Personnalité. Loin de l'image que l'on pourrait se faire d'elle de prime abord, Solange est plutôt joviale et s'il est vrai qu'elle est plutôt légitimiste, elle n'hésite toutefois pas à critiquer en privé certaines dérives du pouvoir Korvosien. Une discussion rapide au sujet de ses origines permet de comprendre qu'elle n'a aucun souvenir ni de sa mère ni de son père. Elle sait vaguement que ce-dernier a été exécuté pour insurrection sous la loi martiale de Biston et que le sang barbare qui coule dans ses veines provient probablement de sa mère mais elle ne s'est pas plus intéressé au sujet et au contraire cherche à le fuir. Elle est par contre intarissable sur son enfance au sein de l’orphelinat et se considère comme une pupille de la cité. D'ailleurs, à défaut d'avoir d'une filiation qui la rendrait fière, elle voit en la figure de Zenobia Zenderholm - généreuse donatrice pour l'orphelinat - une mère de substitution qu'elle espère un jour rencontrer.